J’ai d’abord admiré le talent du peintre : par exemple, son choix pour les couleurs, sa manière de dessiner les traits du visage de la jeune femme, les plis des vêtements mais aussi la théière et la tasse… Tout m’a semblé si réel.
Puis j’ai commencé à voir plus loin. J’ai éprouvé de la sympathie pour cette femme. C’était comme si elle m’invitait à sa table, comme le ferait une amie. Le peintre l’a aussi dotée d’un regard enveloppé d’une sorte de chaleur. Une chaleur qui invite le spectateur à rester pour la contempler, à l’admirer sous toutes ses coutures.
C’est ce qui m’est arrivé la première fois que je l’ai vue. Je suis restée là, plusieurs minutes, à la regarder.
Le terme "coup de cœur" prend alors tout son sens. Il arrive comme ça, sans crier gare, au détour d’un couloir et vous prend au cœur.
Venez-vous aussi, admirer l’exposition Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, et faire le plein d’émotions. Et peut-être que vous aussi, vous tomberez sous le charme…
Stella Mezaber, 14 ans collégienne adepte du MAMC+
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